Revue de presse N°4

Rédaction (A.M)
2022-09-13T12:34:54+02:00
Revue de presse
Revue de presse N°4
  1. ENERGIE :
  • Hydrocarbures :

Selon le quotidien américain The Washington Post : L’Algérie futur « major » du marché européen du gaz

https://ecotimesdz.com/selon-le-quotidien-americain-the-washington-post-lalgerie-futur-major-du-marche-europeen-du-gaz/

Le nouveau rôle de l’Algérie dans le marché européen de l’énergie à l’ombre du nouveau contexte qu’impose la guerre en Ukraine suscite de plus en plus l’intérêt, non seulement des milieux boursiers et économiques, mais aussi des sphères médiatiques internationales.

OPEP+, embargo, réserves stratégiques, confinement en Chine…

Le baril en « état de siège »

https://www.lexpressiondz.com/economie/le-baril-en-etat-de-siege-356115

Branle-bas de combat ! Le marché de l’or noir a probablement rarement été chahuté de la sorte. L’organisation des pays exportateurs de pétrole et ses dix alliés, dont la Russie, tiendront leur sommet mensuel demain sous haute tension.

Energies, Economie, Pétrole : Revue Mondiale avril 2022

https://www.2000watts.org/index.php/energies-fossiles/peak-oil/1268-energies-economie-petrole-et-peak-oil-revue-mondiale-avril-2022.html

Durant tout le mois, le baril de pétrole s’est assis dans un grand huit, les langues taquines parlent de montagnes russes. En haut, en bas, la tête en l’air.  Bref, si les investisseurs détestent l’incertitude, ils ont été servis ! A Londres, le Brent termine là où il a commencé à $107,1 ($107,9 fin mars). Du côté de la Trump Tower ou de la Musk Twitter, le WTI tweet à $104.7 à ($100.7 fin mars).

 

Les combustibles fossiles ne vont pas disparaître de sitôt

https://oilprice.com/Energy/Crude-Oil/Fossil-Fuels-Arent-Going-Away-Anytime-Soon.html

Malgré la poussée mondiale vers les énergies renouvelables, les combustibles fossiles ne devraient pas disparaître de sitôt.

La demande mondiale de pétrole est actuellement supérieure à l’offre disponible.

La longévité de la demande de pétrole est également soutenue par le débat naissant sur la nécessité de rendre la transition énergétique juste pour le monde en développement.

Les sanctions de l’OTAN et la catastrophe mondiale imminente du diesel

https://reseauinternational.net/les-sanctions-de-lotan-et-la-catastrophe-mondiale-imminente-du-diesel/

Dans le contexte de la crise inflationniste mondiale actuelle, les chefs d’État de l’OTAN et les médias grand public répètent à l’envi que les prix élevés de l’énergie sont le résultat direct des actions menées par Poutine en Ukraine depuis fin février.

Afrique : 14,3 millions USD pour l’étude de faisabilité gazoduc Maroc-Nigéria

https://africa24tv.com/afrique-143-millions-usd-pour-letude-de-faisabilite-gazoduc-maroc-nigeria/

Le Fonds de l’OPEP Organisation des pays exportateurs de pétrole pour le développement international (OPEC FUND) va financer la deuxième phase des études d’avant-projet du futur gazoduc reliant le Maroc et le Nigéria. Le fonds contribuera à hauteur de 14,3 millions de dollars. Un appui financier à travers lequel le Fonds de l’OPEP renforce les relations de coopération financière avec le Maroc et contribue à la dynamique économique et sociale du pays

BHP quitte le club algérien Rod

https://www.mees.com/2022/4/29/news-in-brief/bhp-quits-algerias-rod/df61e440-c7ba-11ec-a298-65ad6878c3df

L’australien BHP Billiton a finalisé ce mois-ci la cession de sa « participation effective » de 28,85% dans l’algérien ROD, selon les derniers résultats trimestriels de la société. Cette décision met fin à la présence de BHP en Algérie avant que les actifs pétroliers et gaziers de la société ne soient fusionnés avec son compatriote Woodside Petroleum, visé pour le 1er juin.

East Med vise à récolter un nouveau dividende sur l’appétit du gaz

https://www.pemedianetwork.com/petroleum-economist/articles/gas-lng/2022/east-med-aims-to-reap-renewed-gas-appetite-dividend/?id=

La nouvelle urgence pour l’Europe de se diversifier à partir de l’approvisionnement russe devrait offrir des opportunités, selon le producteur régional Energean.

L’Union européenne cessera d’acheter du pétrole russe d’ici la fin de l’année

https://www.transitionsenergies.com/union-europeenne-cessera-acheter-petrole-russe-fin-annee/

L’Europe va prendre des décisions plus douloureuses, pour elle et la Russie, afin de continuer à sanctionner Moscou dont l’armée a envahi depuis le 24 février l’Ukraine et y mène une guerre de conquête impitoyable. L’Union européenne devrait annoncer mercredi 4 mai, dans le cadre de son sixième volet de sanctions, la mise en place d’un embargo progressif sur les importations de pétrole et de produits pétroliers russes. Il devrait être total d’ici la fin de l’année. Les exportations de pétrole et de produits pétroliers russes vers l’Europe représentent pour Moscou des recettes quatre fois plus importantes que les ventes de gaz.

L’Europe n’a pas encore renoncé au diesel russe

https://www.pemedianetwork.com/petroleum-economist/articles/midstream-downstream/2022/europe-yet-to-give-up-russian-diesel/?id=

Le crack spread – la marge théorique entre l’achat de brut et la vente du produit raffiné – pour le diesel européen est à des niveaux record. Bien que cela ne soit pas une surprise à première vue, étant donné que le continent a été fortement dépendant de l’approvisionnement russe, les bilans physiques du diesel restent plus sains pour l’instant que les fissures record ne l’indiqueraient, déclare Pamela Munger, analyste senior à la société d’analyse énergétique Vortexa.

27% DE VENTES EN MOINS EN 2022 POUR GAZPROM, LA CHINE À LA RESCOUSSE

https://www.bfmtv.com/economie/international/27-de-ventes-en-moins-en-2022-pour-gazprom-la-chine-a-la-rescousse_AD-202205010198.html#xtor=CS9-144-[facebook]-[BFMBusiness

Pékin a augmenté ses livraisons de gaz russe de 60% depuis le début de l’année. De quoi amortir le choc de la progressive coupure de gaz en Europe.

Le gaz liquéfié américain, la solution pour l’Europe ? Pourquoi ce n’est pas si simple

https://www.tf1info.fr/economie/video-gaz-liquefie-americain-la-solution-pour-l-europe-2217416.html?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Facebook&Echobox=1651357072&fbclid=IwAR32F1W9C31h5g3hUg7VgpEBfPNH-F8gCtzjWfQIP6B03Y0rFTFtbwnpsqI#xtor=CS5-111

Le salut des Européens pourrait bien venir des bateaux accostés dans un port de Louisiane. Dans leur cuve, se trouvent d’énormes quantités de gaz naturel liquéfié (GNL). Au pont qu’un seul navire peut transporter assez de GNL pour chauffer 45.000 maisons pendant un an. « Le gaz passe par ces tuyaux, puis par ces gros bras : ce sont eux qui chargent le gaz naturel liquéfié dans le navire. Le réservoir fait environ 173.000 m3. Il faut environ 24 heures au bateau pour arriver, être rempli de gaz et repartir en gaz », explique un employé dans le reportage de TF1 en tête d’article.

Crise ukrainienne : le gaz algérien dans le viseur de l’Allemagne

https://www.algerie360.com/crise-ukrainienne-le-gaz-algerien-dans-le-viseur-de-lallemagne/?utm_source=webpush&utm_medium=push

Le conflit armé entre le Russie et l’Ukraine a eu un impact direct sur l’économie mondiale,

particulièrement en ce qui concerne les prix les hydrocarbures et les denrées alimentaires

acheminés à partir de ces deux pays. En effet, la crise russo-ukrainienne menace en

premier lieu la stabilité de la livraison de gaz russe pour l’Europe. D’ailleurs, les pays de

l’union européenne (UE) redoutent le fermeture les robinets par le kremlin qui menace de

suspendre les contrats et tentent de trouver d’autres alternatives pour assurer la livraison

de gaz et faire face à une éventuelle crise les hydrocarbures en Europe.

Les États-Unis prévoient de devenir le premier exportateur mondial de GNL en 2022

https://www.connaissancedesenergies.org/les-etats-unis-prevoient-de-devenir-le-premier-exportateur-mondial-de-gnl-en-2022-220421

En 2021, les exportations de GNL des États-Unis ont pour la première fois dépassé le niveau des exportations gazières de ce pays via gazoducs. Et la croissance du GNL américain devrait se poursuivre selon l’EIA américaine (U.S. Energy Information Administration)(1), alors que les pays européens cherchent à diversifier leurs approvisionnements pour moins dépendre du gaz russe.

Les États-Unis sont devenus exportateurs nets de gaz naturel en 2017 et ont depuis augmenté significativement leurs exportations, tant par gazoduc que sous forme liquéfiée (GNL). En 2021, les flux de GNL ont compté pour 53,5% de l’ensemble des exportations américaines de gaz naturel (57,7% au 1er trimestre 2022).

Les cours du pétrole en nette hausse, suite à la proposition européenne d’embargo sur le pétrole russe

https://www.connaissancedesenergies.org/afp/les-cours-du-petrole-en-nette-hausse-suite-la-proposition-europeenne-dembargo-sur-le-petrole-russe-220504

Les prix du brut étaient en nette hausse mercredi, les deux références de l’or noir prenant plus de 3%, galvanisées par la proposition de l’Union européenne d’un embargo progressif sur le pétrole russe.

Vers 09h00 GMT (11h00 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juillet gagnait 3,11% à 108,23 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain pour livraison en juin montait quant à lui de 3,18% à 105,67 dollars.

  • ENR- Transition Energétique :

L’hydrogène liquide offre les frais d’expédition les moins chers – Wood Mackenzie

https://www.pemedianetwork.com/hydrogen-economist/articles/storage-transportation/2022/liquid-hydrogen-offers-cheapest-shipping-costs-wood-mackenzie/?id=

La technologie présente également l’avantage d’une grande pureté et d’un processus de reconversion simple, selon des recherches menées par des consultants.

L’hydrogène bleu liquéfié offre l’option à faible émission de carbone la moins chère pour expédier de l’hydrogène au Japon, en Europe et aux États-Unis, selon une analyse du cabinet de conseil Wood Mackenzie.

Comment la crise énergétique est une aubaine pour les exportateurs d’hydrogène

https://www.woodmac.com/news/the-edge/how-the-energy-crisis-is-a-boon-for-hydrogen-exporters/

Le monde n’atteindra pas le zéro net d’ici 2050 sans hydrogène à faible émission de carbone. Ce vecteur énergétique super polyvalent jouera un rôle essentiel dans la décarbonation des secteurs difficiles à réduire et à fortes émissions, notamment l’électricité, l’acier et les engrais. Cela peut également faire partie de la solution pour les pays qui dépendent du pétrole, du gaz et du charbon importés pour renforcer la sécurité énergétique.

Dépendance énergétique : l’Europe remplace la Russie par un néocolonialisme vert en Afrique du Nord

https://www.les-crises.fr/dependance-energetique-l-europe-remplace-la-russie-par-un-neocolonialisme-vert-en-afrique-du-nord/

La stratégie de l’Union européenne consistant à se détourner des combustibles fossiles russes est présentée comme faisant partie de la transition énergétique verte. Pourtant, le recours aux importations en provenance du Maroc et du Sahara occidental occupé montre comment ce projet est à l’origine d’un nouveau type de colonialisme vert.

Architecture, fiabilité et évolutions des systèmes photovoltaïques par Anne Migan-Dubois

https://www.youtube.com/watch?v=kxpE71eeSuU

La cellule photovoltaïque est le dispositif de base de la conversion photo-électrique. Comment, à partir de cette cellule, obtient-on des modules ? Quels sont les autres composants nécessaires à la production d’électricité dans une centrale photovoltaïque ? Comment redonner confiance et convaincre de la fiabilité de ces centrales ? Une centrale photovoltaïque est-elle un moyen de production durable ?

Production de l’hydrogène

https://www.connaissancedesenergies.org/fiche-pedagogique/production-de-lhydrogene

Le dihydrogène possède une très grande densité massique d’énergie (1 kg d’hydrogène contient autant d’énergie qu’environ 3 kg de pétrole) mais une très faible densité volumique.

Le vaporeformage à partir de combustibles fossiles est le procédé de production d’hydrogène le plus répandu (96%) car de loin le plus économique.

Trois principales voies de remplacement de ce procédé de production sont activement explorées : l’électrolyse, la biomasse et la thermochimie.

Hydrogène énergie (Fiche pédagogique)

https://www.connaissancedesenergies.org/fiche-pedagogique/hydrogene-energie

La molécule H2 de dihydrogène, constituée de deux atomes d’hydrogène, est communément appelée « hydrogène ».

L’hydrogène peut être converti en électricité, en chaleur ou en force motrice et a ainsi de nombreuses applications possibles.

L’hydrogène est cependant difficile à stocker et à transporter en raison de sa faible densité énergétique par unité de volume.

Le transport longue distance d’hydrogène dans un « scénario 1,5°C »

https://www.connaissancedesenergies.org/le-transport-longue-distance-dhydrogene-dans-un-scenario-15degc-220429

L’hydrogène est souvent décrit comme difficile à stocker et à transporter en raison de sa faible densité énergétique par unité de volume. Il peut notamment être transporté en bouteilles ou par gazoduc, en étant comprimé(1) ou liquéfié à –253°C.

Le rapport ci-après, mis en ligne en avril 2022 par l’Irena (Agence internationale pour les énergies renouvelables), décrit les caractéristiques et le coût d’un ensemble de solutions pour transporter l’hydrogène sur de longues distances : par gazoduc ou par voie maritime sous différentes formes (hydrogène liquide mais aussi ammoniac, LOHC(2)).

Le transport d’hydrogène sous forme de méthanol n’est en revanche pas traité dans cet étude(3). Ce rapport fait partie d’un ensemble de trois publications décrivant le commerce mondial de l’hydrogène dans un « scénario 1,5°C » à l’horizon 2050.

  • Nucléaire :

L’Afrique centrale abrite d’anciens réacteurs nucléaires naturels

https://www.legrandplateau.com/lafrique-centrale-abrite-danciens-reacteurs-nucleaires-naturels/

Depuis 1942, il existe des machines conçues pour générer de l’énergie à partir de la fission nucléaire, que nous appelons des réacteurs nucléaires. Cependant, beaucoup pourraient être surpris de découvrir que, bien avant cela, la nature elle-même s’occupait de la fonction : des études indiquent que des réacteurs nucléaires naturels existaient depuis des milliards d’années dans différentes parties du globe.

Un nouveau plan nucléaire pour la France, quand l’histoire se répète

https://www.transitionsenergies.com/nouveau-plan-nucleaire-france-histoire-se-repete/

Face à une crise énergétique de grande ampleur, les chocs pétroliers des années 1970, la réponse de la France pour s’assurer une certaine indépendance énergétique avait consisté à lancer en urgence un programme massif de construction de réacteurs nucléaires. Dans une situation de crise énergétique en partie comparable, Emmanuel Macron a finalement fait le même choix. Mais comparaison n’est pas raison.

  • Charbon :

À quelle distance sommes-nous de l’élimination du charbon ?

https://www.mining.com/web/how-far-are-we-from-phasing-out-coal/?utm_source=Energy_Digest&utm_medium=email&utm_campaign=MNG-DIGESTS&utm_content=httpswwwminingcomwebhowfararewefromphasingoutcoal

Lors de la conférence COP26 l’année dernière, 40 pays ont convenu d’éliminer progressivement le charbon de leurs bouquets énergétiques.

Malgré cela, en 2021, la production d’électricité à partir du charbon a atteint des sommets historiques dans le monde, ce qui montre que l’élimination du charbon du mix énergétique ne sera pas une tâche simple.

  1. Eau et Environnement :

Dessalement d’eau : lancement en mai d’une opération de réalisation de 5 stations

https://www.aps.dz/economie/139183-dessalement-d-eau-lancement-en-mai-d-une-operation-de-realisation-de-5-stations

L’Algerian Energy Company (AEC) relevant du groupe Sonatrach se chargera de la réalisation des cinq stations de dessalement d’eau de mer « au cours du second semestre 2022, avant le lancement du projet de la station de Fouka 2, d’une capacité de production de 300.000 m3, au cours de la première semaine de mai prochain », a indiqué à la presse M. Arkab qui était accompagné du ministre des Ressources en eau et de la Sécurité hydrique, Karim Hasni.

Pénurie d’eau : les pays les plus affectés à l’horizon 2040

https://fr.statista.com/infographie/27079/penurie-eau-projections-niveau-de-stress-hydrique-par-pays-dans-le-monde/

Selon la définition de l’ONU, « lorsqu’un territoire prélève 25 % ou plus de ses ressources renouvelables en eau douce, on considère qu’il est en situation de stress hydrique ». À l’échelle mondiale, en 2018, seulement un peu plus de 18 % du total des ressources renouvelables en eau douce étaient prélevées. Mais à l’échelle régionale cependant, certains territoires connaissent déjà de graves problèmes de pénurie d’eau.

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